Droit de disposer de notre vie
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Droit de disposer de notre vie

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Droit de disposer de notre vie Empty Droit de disposer de notre vie

Message par Admin Dim 18 Déc - 23:19

Ni suicidaire, ni diminué mentalement ou physiquement, il me semble que notre société fait preuve d'un abus intolérable en s'arrogeant le droit de nous ôter toute possibilité de partir  sans violence, sans souffrance, sans risque pour autrui... Ceci n’est pas une incitation au suicide mais une volonté de permettre à chacun, sein d’esprit il va de soi, d’accéder à des kits de départ. Il m’a fallu plus d’une année et avoir été victime de plusieurs escrocs pour trouver une solution fiable. A ce jour, je peux enfin dire que je dispose réellement de ma vie…


Dernière édition par Admin le Dim 18 Déc - 23:24, édité 1 fois

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Message par Admin Dim 18 Déc - 23:21

Laissez moi vous conter une histoire qui risque de bouleverser vos vies à jamais. Sans aucun doute vous comprendrez mieux les affres des troglodytes de Platon exposés à la lumière. Une vérité peut être à la fois aveuglante et angoissante d’autant plus si celle-ci bouscule vos principes et convictions.

Je changerais les noms et prénoms des différents protagonistes pour préserver leurs sécurités.

Nous sommes en novembre, de la fenêtre, assis dans un fauteuil proche de la cheminée, je contemple les montagnes enneigées de la Gruyère, district du canton de Fribourg. La blancheur immaculée de ce manteau de neige, le crépitement et la chaleur des flammes sur mon visage, m’emprisonnent dans une douce torpeur.

On sonne, il me faut faire violence pour m’arracher à cette léthargie grandissante et recevoir nos invités.

Sophie, ma compagne, a organisé une soirée pour sa promotion. Une douzaine à table, faces à la cheminée dans ce chalet, protégés du froid, les discutions vont bon train. Chacun essaie de prolonger ce moment en polémiquant avec autant de  conviction que possible sur des sujets, avouons le, des plus ennuyeux.  

Au digestif, ayant tout épuisé, Pierre, nonchalamment, lança : « C’est incroyable, pour Lucie, une si belle fille... Personne ne s’attendait à son suicide, elle paraissait pourtant saine d’esprit… »  

Naïvement, sans trop y penser, je m’entendais demander en quoi son esprit serait altéré. Cette simple question déclencha une si violente réaction de nos convives que je me sentis obliger, dans l’immédiat, de conforter leur position en ajoutant que mon interrogation était stupide : « N’était elle pas en bonne santé, n’avait elle pas un très bon poste ? »

Après quelques instants, recouvrant mes esprits, je ne pu m’empêcher de réitérer mes interrogations. Pourquoi faut il être forcément déficient pour choisir de partir? La violente réaction initiale se transforma en fureur pour certains, en compassion pour d’autres; tous étant empreints d’une condescendance culpabilisatrice. Quel crime odieux avais je donc commis?

Nous formions un groupe de personnes ouvertes d’esprit. Nous avions abordé tout type de sujet, laissant chacun s’interroger et débattant des arguments de tous. Lors de notre dernière rencontre, n’avions nous pas hésité à remettre en question la pertinence des condamnations des pédophiles? Sont-ce des gens malades ou malhonnêtes?

Pour une première fois, une question ne souffrait d’être posée. Ne cédant pas, je poursuivis en demandant si disposer de sa propre vie comme on l’entend ne devrait pas être naturel et en quoi notre société s’arrogeait le droit de nous enlever tout moyen de partir sans violence, sans souffrance, voire de nous condamner en cas de tentatives infructueuses.

Pierre quitta la table et, accompagné de son amie, sortit en me faisant par de mon inconséquence, de ma lâcheté. J’avais beau lui dire que je n’envisageais pas le suicide mais une espèce d’hystérie s’était emparée de lui et il claqua la porte.

Sophie, avec sa douceur habituelle, tâcha de calmer les membres du groupe les plus virulents qui menaçaient, rhétoriquement, de porter plainte pour incitation au suicide. Puis, ne parvenant plus à cacher son inquiétude, me demanda depuis quand je nourrissais des pensées aussi noires. Je comprenais que l’on considérait qu’il serait bon que je rencontrasse un psychologue.

Je sentis un mal-être m’envahir sournoisement. Convaincu que la vie était un cadeau, elle  m’apparaissait peu à peu comme une prison potentielle. Bien malgré moi, ne pouvant me contenir, je déclarais : « Pierre ne se sentant plus très bien en notre compagnie, mes questions le dérangeant, nous a hélas quittés. Imaginez que pour je ne sais quelle raison j’eusse retiré la possibilité à chacun de partir… »

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Message par paneurope Mar 20 Déc - 11:03

Bonjour
J'ai été aussi victime de plusieurs escroqueries.
Si c'est pas trop vous demander, j'aimerai bien connaitre cette solution fiable.
En vous remerciant

paneurope

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